J'ai découvert "Scriptura et caetera"
en 2003, mais ce site (cette œuvre ?) de la Québecoise
Marie Bélisle avait déjà quatre années
d'existence. J'avais alors été fortement impressionné par la rigueur
ludique (ou le ludisme rigoureux) de ce qui était proposé là.
"Scriptura et caetera" figure depuis cette époque dans ma page de
"liens choisis".
Si vous voulez savoir ce qu'Internet offrait de meilleur (originalité,
inventivité, réflexion sur le média et son utilisation,...) à la fin du
XXe siècle, n'hésitez pas à vous y rendre, la visite s'impose.
Nous avons, Marie Bélisle et moi, échangé des courriels en septembre 2003.
Je la sollicitai afin que s'exerce sur "La Puce Sauvage" l'acuité de son
regard ; elle y consentit avec une gentillesse dépourvue d'une complaisance
dont elle savait que je ne la souhaitais pas. Je lui sus (je lui sais) gré
de la pertinence de ses remarques. Même si l'entier bénéfice n'en a pas été tiré,
l'évolution de "La Puce Sauvage" est redevable de quelque chose à Marie Bélisle.
Voilà, je n'ai a priori rien à ajouter...
Si ce n'est cette rencontre que je viens de faire, celle d'un site tout neuf
comme l'année nouvelle, doué d'une esthétique raffinée et d'une élégance rare,
pourvu de cette même rigueur, de cette même cohérence qui constituaient,
selon moi, l'un des charmes de "Scriptura et caetera".
Ce site est celui d'une Québecoise devenue entre-temps Parisienne. C'est le site
de
Marie Bélisle.
À voir, en particulier,
"immortalités"
(mais pas uniquement !...).