21 janvier 2017
Vous vous disiez : "On ne les reverra plus avant deux ans". Perdu !
Et comme dit le boss, avec son humour toujours aussi décalé : "Il faut battre l'affaire tant qu'elle est chaude !"
Comment ? Non, moi non plus ! Mais c'est le boss...
Poursuite de la révision du versant graphique : "Peintures", "Dessins" et "Photines".
Et parce qu'il faut bien quelque chose de nouveau : une seizième page de "Petits riens".
Le coup de la nouvelle page de "Petits riens", on vous le fait régulièrement. Le boss, lui, il aime bien les "Petits riens". "Humour décalé" dit-il. Chacun son truc, quoi !

Dans son bureau, la puce sauvage congratule
— Bravo ! mon p'tit Dédé, beau travail, et en deux semaines seulement !
— Merci, boss, mais...
— Si tout un chacun dans cette entreprise, et je ne cite personne, avait cette conscience professionnelle qui...
— Il faut que je vous dise, boss,...
— Ne dites rien, mon p'tit Dédé. Bien sûr que vous l'aurez cette augmentation ! Et j'en connais d'autres par contre qui vont se voir sucrer leur prime, et je ne cite personne...
Ce que Dédé souhaitait dire au boss, s'il en avait pu en placer une, nous le saurons tout à l'heure.
Pour l'heure, retrouvons Momo. Il va nous parler d'un ancien et d'un nouveau coups de cœur.

Le carnet de Momo
J'ai découvert "Scriptura et caetera" en 2003, mais ce site (cette œuvre ?) de la Québecoise Marie Bélisle avait déjà quatre années d'existence. J'avais alors été fortement impressionné par la rigueur ludique (ou le ludisme rigoureux) de ce qui était proposé là.
"Scriptura et caetera" figure depuis cette époque dans ma page de "liens choisis". Si vous voulez savoir ce qu'Internet offrait de meilleur (originalité, inventivité, réflexion sur le média et son utilisation,...) à la fin du XXe siècle, n'hésitez pas à vous y rendre, la visite s'impose.

Nous avons, Marie Bélisle et moi, échangé des courriels en septembre 2003. Je la sollicitai afin que s'exerce sur "La Puce Sauvage" l'acuité de son regard ; elle y consentit avec une gentillesse dépourvue d'une complaisance dont elle savait que je ne la souhaitais pas. Je lui sus (je lui sais) gré de la pertinence de ses remarques. Même si l'entier bénéfice n'en a pas été tiré, l'évolution de "La Puce Sauvage" est redevable de quelque chose à Marie Bélisle.

Voilà, je n'ai a priori rien à ajouter...
Si ce n'est cette rencontre que je viens de faire, celle d'un site tout neuf comme l'année nouvelle, doué d'une esthétique raffinée et d'une élégance rare, pourvu de cette même rigueur, de cette même cohérence qui constituaient, selon moi, l'un des charmes de "Scriptura et caetera".
Ce site est celui d'une Québecoise devenue entre-temps Parisienne. C'est le site de Marie Bélisle. À voir, en particulier, "immortalités" (mais pas uniquement !...).
Merci Momo. Comme d'hab, ta chronique était super positive. Un jour, faudra que tu nous parles de ce que tu n'aimes pas. Ah bon ? Ça t'est déjà arrivé ?

Alors, Dédé, tu voulais lui dire quoi, au boss ?
Le coin de Dédé le développeur
Les rubriques du versant graphique qui ont été traitées étaient celles pour lesquelles il était le plus aisé de le faire.
Parmi celles qui restent, "Aléatics" ne posera pas de problème particulier. "Pavages" non plus du reste, mais l'occasion est donnée d'en revisiter sa présentation à l'écran.
Avec "Cinétics" ressurgit un problème récurrent. En effet, cinq des treize animations proposées utilisent la technologie 'Flash'. Leur réécriture en HTML5 va donc s'imposer.
Quant à "Album de famille", auquel le boss tient beaucoup ("Mon fleuron !", dit-il en toute simplicité), les choses se compliquent. D'une part, l'utilisation du glissement de la souris sur PC doit être repensé dans le contexte 'tablette' (glissement du doigt ou 'tapotage' ?) et, de l'autre, la bande son est lue par 'Dewplayer', lecteur MP3 utilisant... la technologie 'Flash' !

Y'a du travail, boss !
(Au fait, pour l'augmentation, laissez tomber ! Ça va encore faire des jaloux...)